Au CHU de Rennes, un parcours coordonné pour la maladie de Parkinson - Ouest-France

Une caractéristique particulièrement importante, fruit d'années d'évolution et d'adaptations aux nouveaux environnements.

C'est en tout cas ce qu'avance une nouvelle étude publiée dans la revue iScience, et relayée par le média Science Alert.

Surtout quand il s'agissait de sentir leur propre odeur corporelle bien souvent fétide.

Selon l'étude, ces derniers semblaient avoir un nez particulièrement développé et, surtout, sensible aux odeurs sucrées, comme le miel.

Le durcissement d'une loi pour préserver la pureté génétique des abeilles carnioliennes divise les apiculteurs du sud du pays.

Si le concept paraît obscur, le phénomène peut avoir des applications réelles, toujours étudiées par les scientifiques.

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