Grand Prix de France de Formule 1 : des dépenses qui posent question

Pour l'occasion, un groupement d'intérêt public (GIP) a été créé.

Mais après seulement quatre Grands Prix, tout s'est terminé.

Le circuit au Castellet(Var) n'était pas assez rentable pour les grands patrons de la F1.

Reste une dette de 32 millions d'euros, que les contribuables vont devoir payer.

Problème : certains élus refusent de payer, comme Jean-Louis Masson, président (Les Républicains) du conseil départemental du Var.

Christelle d'Intorni, députée (LR), conseillère de la Métropole Nice Côte d'Azur, et opposante à Christian Estrosi, a accédé aux livres de comptes après un recours administratif.

Back to 365NEWSX