Comme nous, la grande outarde pourrait avoir recours à l'automédication - Sciences et Avenir

Sciences et Avenir.

Femelles grandes outardes.

Pour se reproduire, les grandes outardes utilisent des leks, aussi appelés "aires de reproduction".

Mais les grandes outardes ont peut-être trouvé une parade aux infections.

Selon la nouvelle étude pilotée par le Muséum national des sciences naturelles espagnol, ces oiseaux recherchent activement deux plantes bien connues pour leurs propriétés médicinales : le coquelicot et la vipérine pourpre.

"Ici, nous montrons que les grandes outardes préfèrent manger des plantes avec des composés chimiques ayant des effets antiparasitaires in vitro", explique dans un communiqué le Dr Luis M Bautista-Sopelana, auteur principal de l'étude. .

"Les grandes outardes recherchent deux espèces de plantes qui sont également utilisées par les humains en médecine traditionnelle.

Pour arriver à ce résultat, l'équipe de recherche a collecté 623 déjections de grandes outardes, mâles comme femelles, dont 178 provenant de la période de reproduction.

Si cette étude fait de l'automédication des grandes outardes une piste sérieuse, elle ne constitue pas une preuve.

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