Santé : le grand ras-le-bol des infirmières libérales

Evelyne Cassan, infirmière libérale, rend visite à un patient d’Aurillac (Cantal) presque tous les jours.

"Il faut faire beaucoup de volume pour parfois se sortir un salaire", observe l’infirmière.

Les aiguilles, seringues, masques et gants sont à sa charge.

En dix ans, les infirmiers libéraux auraient perdu 25 % de leur pouvoir d’achat.

Dans le Cantal, une centaine d’entre eux ont créé un collectif pour dire leur ras-le-bol.

Chez Yvette Klin, patiente handicapée, celle du matin et du soir est payée autour de 7 euros au total à Evelyne, qu’elle qualifie de"très indispensable".

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