Son analyse pour les jours à venir : une cavalcade non sans risques dans les Alizés et une dépression qu’il faudra attraper au vol, en premier, pour espérer gagner.
Il ne cache pas que son favori de cœur, Charlie Dalin, avec qui il a remporté la Transat Jacques Vabre, n’est pas le mieux armé, sans son foil bâbord