Cette obligation s’appliquera « hors voyages essentiels », a précisé l’Elysée : « Les travailleurs frontaliers et le transport terrestre seront en particulier exemptés ».
Paris avait déjà décidé le 14 janvier de soumettre à cette règle les voyageurs en provenance d’un pays extérieur à l’Union européenne (UE).
Les travailleurs transfrontaliers et les travailleurs « essentiels » en étaient déjà exemptés
Jugeant que « tous les voyages non essentiels doivent être fortement déconseillés », la dirigeante a cependant affirmé qu’il était « de la plus haute importance de continuer à faire fonctionner le marché unique », c’est-à -dire de continuer à permettre le transport « fluide des travailleurs essentiels et des marchandises à travers les frontières » des pays de l’UE