Dans une grande enquête menée ce printemps auprès des acteurs sportifs et institutionnels par le Centre de droit et d'économie du sport de Limoges (CDES) à la demande de l'Association nationale des élus du sport (Andes), 53 % des sondés plaçaient le « manque de personnes qui souhaitent s'engager (bénévolat) » comme leur première préoccupation, devant l'incertitude due à la crise sanitaire (43 %) et le manque de moyens financiers (39 %).
Plusieurs opérations sont prévues pour encourager les jeunes bénévoles à s'engager et notamment les jeunes femmes.
Pour être dans les clous de la loi sport du 2 mars dernier, qui fixe la parité dans les instances dirigeantes nationales et internationales, plus de 3 000 femmes bénévoles vont devoir s'engager d'ici 2028.