Si l'on savait déjà que les animaux de compagnie vivant auprès des personnes infectées au SARS-CoV-2 avaient huit fois plus de risques d'être contaminés, selon les résultats d'une étude française parue en novembre dernier, ces chercheurs anglo-saxons viennent ainsi de jeter un pavé dans la mare.
Cock Van Oosterhout, professeur de génétique à l'UEA explique que l'évolution inquiétante du virus et de ses mutants pourrait ainsi poser un «risque important de santé publique» non seulement chez les humains, mais aussi chez les animaux qui vivent auprès d'eux.