On s'est dit que c'était rien, qu'on allait jouer avec le vent, qu'il faudrait faire une grosse deuxième mi-temps.
Une fois qu'on a privé Clermont de ballons, ça a été plus compliqué pour eux.
Il n'y a pas eu de moment charnière, on a construit notre deuxième mi-temps avec Melvyn qui passe les pénalités et nous permet de rester au contact, on repart chez eux, on obtient des pénalités notamment en mêlée et ça nous a fait y croire jusqu'au bout.
Lucas Bachelier, troisième ligne de Perpignan : Quand on regarde notre première mi-temps, où on fait les choses à l'envers, où on laisse des pénalités et des points faciles...
On a voulu jouer tous les ballons, mais quand tu n'as pas les soutiens aux rucks et qu'on te ralentit tous les ballons, tu ne peux pas enchaîner.
En deuxième mi-temps on a eu des soutiens plus rapides, et ça nous a permis d'avoir plus de ballons à exploiter.