Selon lui, "les personnes qui ont une concentration plus élevée de vitamine D lorsqu'elles sont affectées par le virus ont un meilleur pronostic, une meilleure évolution de la maladie, moins de formes sévères, moins de passages en réanimation et moins de décès.".
"C'est un rappel de bonne pratique : bien avant l'ère du coronavirus il était déjà recommandé que tout un chacun ait une concentration normale en vitamine D", poursuit Cédric Annweiler.
L'institution ne recommande pas la vitamine D pour tous afin de prévenir les formes graves du coronavirus car, selon elle, elle manque de preuves.